Une porte rue du Grand-Séminaire, à Aix. DR. M.
Catégorie : 13 – Aix-en-Provence
Menacés de se faire arracher les moustaches (Aix-en-Provence, 3 novembre 1873)
La feuille d’impôt de la citoyenne Gautier
La contribution personnelle mobilière était régie par la loi des 13 janvier et 18 février 1791. Son assiette était basée sur ce qu’on appellerait aujourd’hui les signes extérieures de richesse. Elle se composait de plusieurs éléments : 1. La cote personnelle Elle fut fixée entre trente sous et cent vingt livres suivant les revenus du contribuable. 2.
Visite chez les imprimeurs de la ville (Aix-en-Provence, 3 août 1791)
Preuve que la municipalité d’Aix exerçait une stricte surveillance sur les moyens d’information. En 1792, elle ordonnera l’ouverture de la malle des Postes afin de contrôler le courrier et faire enlever les « papiers suspects ». Sur la proposition de M. le P.d.l.C. (1) Délibéré de requérir M.
Une agression au vitriol (Aix-en-Provence, 10 novembre 1873)
Relaxés de Provence sous la Terreur
Vol dans une baraque (Aix-en-Provence, 16 décembre 1802)
Ce jourd’hui vingt-huit frimaire an onze de la République française pardevant nous commissaires de police et dans notre bureau s’est présenté la citoyenne Marie Renaud, épouse Fouquet, laquelle nous a déclaré que la nuit du vingt-cinq au vingt-six courant (1), des voleurs ont ouvert une baraque en bois qu’elle a fait construire sur la porte d’Italie et dont elle paye
Dispute à l’auberge Deleuil (Aix-en-Provence, 15 décembre 1802)
Ce jourd’huy vingt-cinq frimaire de l’an onze de la République française (1), nous com[missair]es de police informés que hier vingt-quatre sur les six heures du soir, plusieurs bourgeois s’étoient portés dans l’auberge du c[itoy]en Deleuil (2), hors la porte d’Italie, dans l’intention de chercher dispute à plusieurs officiers de la garnison qui étoient à souper dans la ditte auberge, avons
Le cafetier insulté chez lui (Aix-en-Provence, 30 décembre 1802)
Ce jourd’huy dix nivôse an onze de la République française, pardevant nous com[missair]es de police et dans notre bureau s’est présenté le citoyen Joseph David, caffetier place ditte du palais, lequel nous a déclaré que hier neuf, un citoyen appelé Étienne Gautier, se trouvant dans son café assis autour d’une table avec plusieurs autres personnes, le déclarant craignant que, profitant
Fin d’une bande de voleurs (Aix-en-Provence, 16 novembre 1873)
L’an mil huit cent, etc.