À la suite d’un mariage en date du 12 février 1782, on trouve le lendemain le texte qui suit : « J’approuve l’écrit ci dessus et le susdit mariage fait en notre absence, parce que des affaires indispensables nous ont appelé ailleurs. Sans préjudicier à mes droits qui déboutent M.
Catégorie : Institutions
Problème de registre (Gréasque, 22 juin 1782)
« Nous Thomas Deleuil, lieutenant du juge de ce lieu de Gréasque, avons raturé la feuille ci-devant attachée que par mégarde il y avait été versé dessus aux écritoire et qu’il n’était pas possible de continuer les actes y contenus, et l’avons paraphée à chaque commencement.
Interdictions diverses (Eyguières, 20 mai 1547)
Enquête sur le cafetier (Tarascon, 23 avril 1857)
Insultes au factionnaire (Aix-en-Provence, 30 décembre 1802)
Condamné au bagne (Gréasque, 6 février 1828)
Relation des troubles arrivés à Aix les 12 et 14 décembre 1790 rédigés par la municipalité d’Aix le 17 mars 1791
Les événements survenus à Aix en décembre 1790 ont marqué la mémoire provençale de manière définitive. A l’issue de violentes émeutes ayant secoué la cité du roi René, le drame se termina par le lynchage et la pendaison sur le cours Mirabeau de trois hommes, dont on n’acceptait pas les idées anti-révolutionnaires.
Ordonnance contre les vagabonds (Marseille, 7 avril 1683)
I. Jean Étienne Séard. Le bagnard de Montgardin
Jean Étienne Séard, fils de Pierre Séard (1737-1810) et de Marguerite Astier (v. 1745-av. 1795) vit le jour à Montgardin, petit village des Hautes-Alpes, le lundi 19 juillet 1779. Il était le dernier d’une famille de huit enfants. Avant lui, ses frères et soeurs se nommaient Anne, Jean-Jacques, Dominique, Marie-Marguerite, Michel, Thérèse et Marie-Magdeleine (1).