« Il existe des personnes qui ne sont pas faites pour le bonheur. »On a souvent dû dire cela à Jean Marie Emmanuel Bonfillon. Sa vie de malheurs a débuté à Marseille le 7 mars 1858.
Catégorie : Médecine
Mort alors que le mal contagieux faisait de grands ravages… (Verquières, 3 juin 1721)
BMS de Verquières, 203 E 345 f° 33Texte transmis par Sébastien AvyL’an mille sept cent vingt un et le troisieme du mois de juin est decede d’un accident d’apoplexie Claude Barralier, originaire de Saint Andiol, berger a Beauplan, metairie de cette paroisse, sans avoir pu luy administrer aucun sacrement comme le mal contagieux faisoit de grand ravage au voisinage il
Le cheval morveux du sieur Jartoux (Montgardin, 19 novembre 1845)
Archives départementales des Hautes-Alpes, E dépôt 1 – I4.Préfecture des Hautes-Alpes Gap, le 19 novembre 1845 Monsieur le Maire, dans un rapport que je reçois, le sieur Lamotte, vétérinaire, me fait connaître qu’il s’est rendu chez le sieur Jean Jacques Jartoux, marchand de bestiaux et propriétaire à Montgardin, pour y examiner un cheval qui, atteint de la morve, aurait communiqué
Arrivée de la peste (Tarascon, 14 décembre 1720)
Registres vides pour cause de peste (Auriol, 1720)
Registre BMS 1720 Auriol, page de garde Texte transmis par Françoise Suzanne. « 1720-1721 contient peu de choses attendu la maladie contagieuse pendant lequel temps on n’eut pas pris precaution de tenir un registre des morts de cette maladie qui fit perir dans cette parroisse de quinze a seize cens personnes.
Morts exceptionnelles à Arles au XIXe siècle
Source : Archives municipales d’Arles, J71, « tableau trimestriel des décès accidentels ou dus à des épidémies (1840-1874) » À Arles, les forces de police durent établir trimestriellement une liste de toutes les morts exceptionnels survenues sur le territoire de la commune, durant au moins une trentaine d’années au milieu du XIXe siècle.
La ville des Tours – Une cité aixoise oubliée
Il existait à Aix, jusqu’au Moyen Âge, un quartier que les documents d’archives dénomment la Ville des Tours. Ce faubourg fut habité dès l’Antiquité. De nombreux nobles y vivaient. Tombée en désuétude, ruinée par le temps, cette ville ne revint à la mémoire des hommes que peu avant la Révolution où elle reçut le nom de « Faubourg ».
La Rotonde du Monêtier-les-Bains
Aussi surnommée le « Pavillon des buveurs », la Rotonde à treize côtés date du début du XVIIIe siècle et abrite une des deux sources d’eaux chaudes du Monêtier. Vers 1860, elle était fréquentée par la bourgeoisie briançonnaise. Les vertus naturelles de cette eau étaient cependant connues depuis l’époque romaine.
Autopsie de cadavres (Aix-en-Provence, 24 janvier 1744)
Sources : Archives communales d’Aix-en-Provence, BB109, f°336. M.
Une violente épizootie (Aix-en-Provence, 6 mars 1744)
Sources : Archives communales d’Aix-en-Provence, BB109 (Délibérations municipales). M.