Maladie Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/maladie/ 500 ans de faits divers en Provence Sat, 13 Sep 2025 21:45:39 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.geneprovence.com/wp-content/uploads/2024/04/cropped-434541497_912630390609581_141579584347965292_n-32x32.png Maladie Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/maladie/ 32 32 Atteint de gangrène (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 16 janvier 1695) https://www.geneprovence.com/atteint-de-gangrene-saint-maximin-la-sainte-baume-16-janvier-1695/ https://www.geneprovence.com/atteint-de-gangrene-saint-maximin-la-sainte-baume-16-janvier-1695/#respond Sat, 13 Sep 2025 21:45:39 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=26332 « L’an 1695 et le 16 janvier, est décédé Antoine Figuérollis, fils de Jean et de feue [espace vide], du lieu d’Auriol, habitant en cette ville, âgé de quarante-quatre ans, marié…

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« L’an 1695 et le 16 janvier, est décédé Antoine Figuérollis, fils de Jean et de feue [espace vide], du lieu d’Auriol, habitant en cette ville, âgé de quarante-quatre ans, marié avec Isabeau Bonnaud, muni de tous les sacrements de l’Église, et a été enseveli ledit jour, attendu la contagion causée de la gangrène dont la plaie qu’on lui a causée et dont il était atteint.
Présents MM. François Porte et Louis Joseph Virgilly. »
[f. J. Agnez, curé, f. Porte, Virgilly]
  • Source : Registre paroissial de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Archives départementales du Var, 2 MI EC2810R1.

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Récit de la peste de Provence (Boulbon, 15 décembre 1720) https://www.geneprovence.com/recit-de-la-peste-de-provence-15-decembre-1720/ https://www.geneprovence.com/recit-de-la-peste-de-provence-15-decembre-1720/#respond Sat, 06 Sep 2025 15:54:29 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=26277 Durant toute la seconde moitié de l’année 1720, le curé de Boulbon, Périer, fait le récit de la peste qui s’étend dans un premier temps à Marseille mais peu à…

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Reconstitution du village de Boulbon en 1720. © GénéProvence, 2025.

Durant toute la seconde moitié de l’année 1720, le curé de Boulbon, Périer, fait le récit de la peste qui s’étend dans un premier temps à Marseille mais peu à peu dans un grand nombre de villes et villages de Provence. On a sous sa plume le récit d’un homme inquiet pour le village, ce « misérable lieu », qu’il administre.

« Cette année 1720, il y a eu une récolte abondante. Toutes les terres, les unes et les autres, ont rendu d’un dixième dans le temps de la foire de Beaucaire.
On a soupçonné Marseille de peste et avec juste raison puisqu’elle y est si maligne qu’on assure que depuis le commencement de ce mois d’août, jusqu’à aujourd’hui vingt-huitième août, il y est mort plus de quatorze à quinze mille âmes et il continue à ce qu’il nous en revient à y en mourir toujours sans nombre.
Toutes les villes et villages de la province se gardent et il n’y a plus de commerce ni avec le Languedoc ni avec Avignon, et si Dieu n’y met sa main par sa divine miséricorde, nous sommes tous perdus.
Aubagne, Lançon, sont atteints de ce mal-là, Aix est soupçonné et on assure qu’il est au faubourg.
Le 3 octobre, le parlement, après avoir prêté serment, s’est retiré à Saint-Remy, s’étant eux-mêmes condamnés à faire quarantaine.
La peste est aux quatre coins d’Aix. Le 30 septembre, il y mourut dans une nuit vingt-cinq personnes.
On assure qu’il est mort à Marseille ou à ses bastides plus de cinquante mille âmes.
Nous nous gardons ici le mieux que nous pouvons, jour et nuit.
Aujourd’hui 23 octobre 1720, nous avons renouvelé le vœu de sainte Élisabeth et nous sommes allés en procession à Notre-Dame chanter la grand-messe. Les consuls y ont été pieds nus, la corde au col et la torche à la main, ce qui se continuera in aeternam.
Saint-Remy est soupçonné de contagion. Dieu veuille qu’il n’y ait rien.
J’ai grand peur que la peste n’y soit bientôt déclarée, comme aux autres endroits.
Du onze novembre, on mande qu’il est mort à Marseille ou à ses bastides plus de soixante mille âmes. Il y a eu de terribles désordres dans cette ville, causés par les forçats de galère qu’on avait tirés pour servir les malades et pour servir de corbeaux.
Il y est mort une grande quantité des prêtres et de religieux. Monseigneur l’Archevêque s’y est exposé autant que les prêtres les plus zélés et Dieu l’a conservé jusqu’à aujourd’hui. Le pape a envoyé trois mille saumées1 de blé pour soutenir le pauvre peuple et la contagion fait aujourd’hui à Aix autant de ravages à proportion qu’il en a fait à Marseille, où elle commence fort à calmer.
On soupçonne toujours Saint-Remy et il y a apparence que cette ville aura le même sort que toutes les autres villes et villages, qui ont été soupçonnées où elle est aujourd’hui aux quatre coins. Dieu veuille la préserver.
On dit que Lançon, il n’y est resté presque personne.
Le Martigues et Salon sont confinés.
Le 5 décembre, M. l’Intendant s’est retiré à Barbentane, méchante marque pour Saint-Remy. Madame l’Intendante s’est accouchée en chemin et a fait l’enfant dans son carrosse.
Certainement la contagion doit y être quoi qu’on le cache, mais dans moins de quatre à cinq jours, il sera confiné quoi qu’on en dise.
Le 15, troisième dimanche, à 4 heures du soir, l’ordre de M. de Jossaud, commandant dans cette viguerie, est arrivé, de confiner Saint-Remy.
Dieu veuille nous garder par sa divine miséricorde, car nous sommes en grand danger dans ce misérable lieu où il n’y a pas grand ordre.
Tarascon est en grand danger et nous aussi.
Le 14 décembre, la peste a commencé à Tarascon, par Simiot, poissonnier, qui l’a portée du Martigues. Il est mort avec un bubon. Dieu ait pitié de Tarascon et de nous aussi. On a confiné la traverse d’Arles au faubourg Saint-Jean. »

Note

1. Une saumée représente la charge d’une bête de somme.

  • Source : Registre paroissial de Boulbon, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 222.

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Mort d’une femme paralytique (Alleins, 27 février 1681) https://www.geneprovence.com/mort-dune-femme-paralytique-alleins-27-fevrier-1681/ https://www.geneprovence.com/mort-dune-femme-paralytique-alleins-27-fevrier-1681/#respond Sun, 31 Aug 2025 11:42:36 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=26239 « Anne Bertrane, femme de Pierre Villevieille, âgée d’environ cinquante ans, après avoir demeuré huit ans dans le lit paralytique, est morte et a été ensevelie au cimetière Saint-Pierre, le 27…

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« Anne Bertrane, femme de Pierre Villevieille, âgée d’environ cinquante ans, après avoir demeuré huit ans dans le lit paralytique, est morte et a été ensevelie au cimetière Saint-Pierre, le 27 février 1681. »
[Castilhon, vicaire]
  • Registre paroissial d’Alleins, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 2.

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Partis en famille faire la moisson (Graveson, 26 juin 1696) https://www.geneprovence.com/partis-en-famille-faire-la-moisson-graveson-26-juin-1696/ https://www.geneprovence.com/partis-en-famille-faire-la-moisson-graveson-26-juin-1696/#respond Fri, 08 Aug 2025 15:56:02 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=26099 « L’an 1696 et le 26 juin est décédée de ce monde, munie des sacrements, âgée d’environ dix-huit ans, Catherine Moureau, fille de Pierre, travailleur, et de Marguerite Beaulieu, habitant de Montbrun.…

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« L’an 1696 et le 26 juin est décédée de ce monde, munie des sacrements, âgée d’environ dix-huit ans, Catherine Moureau, fille de Pierre, travailleur, et de Marguerite Beaulieu, habitant de Montbrun.
Étant venus en ce lieu pour travailler à la moisson.
Et a été ensevelie dans le cimetière de la présente paroisse de Graveson.
En foi de ce, »
[J. Guignard, curé]
  • Source : Registre paroissial de Graveson, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 446.

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Un compagnon négligent (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 21 mars 1694) https://www.geneprovence.com/un-compagnon-negligent-saint-maximin-la-sainte-baume-21-mars-1694/ https://www.geneprovence.com/un-compagnon-negligent-saint-maximin-la-sainte-baume-21-mars-1694/#respond Tue, 15 Jul 2025 05:30:06 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25932 « L’an que dessus [1694] et le 21 du mois de mars, est décédé Jean Boy, de la paroisse de Boy, soldat de recrue du régiment de Médoc et de la compagnie…

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« L’an que dessus [1694] et le 21 du mois de mars, est décédé Jean Boy, de la paroisse de Boy, soldat de recrue du régiment de Médoc et de la compagnie de Monsieur Duchamp en Berry, âgé d’environ trente ans.
Il est mort sans sacrement et on l’a trouvé mort dans le lit, sans qu’on nous ait averti de sa maladie, étant arrivé dans cette ville la veille de son décès.
Il était malade depuis quelque temps et la négligence de son compagnon a été la cause qu’il est mort sans recevoir aucun sacrement.
Le compagnon de ce soldat a avoué qu’il était fort bon catholique et il a été enseveli ledit jour.
Présents M. Louis Deaulx et M. Pierre Icard. »
[F. Thomas Jausseran, secondaire, Louis Deaux]
  • Source : Registre paroissial de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Archives départementales du Var, 2 MI EC2810R1.

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Une femme retrouvée morte au Salin-de-Giraud (Arles, 9 mai 1881) https://www.geneprovence.com/une-femme-retrouvee-morte-au-salin-de-giraud-arles-9-mai-1881/ https://www.geneprovence.com/une-femme-retrouvee-morte-au-salin-de-giraud-arles-9-mai-1881/#respond Mon, 23 Jun 2025 05:30:08 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25722 L’onde de choc traversa la paisible étendue camarguaise ce funeste lundi 9 mai 1881. Près des salins de Giraud, dans un amas de broussailles, le corps inanimé d’une femme fut…

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L’onde de choc traversa la paisible étendue camarguaise ce funeste lundi 9 mai 1881. Près des salins de Giraud, dans un amas de broussailles, le corps inanimé d’une femme fut découvert.
Jeanne-Marie Bascal, âgée de quarante-huit ans, gisait là, son dernier souffle semblant s’être envolé avec les brumes matinales.
Rapidement alertées, les autorités se rendirent sur les lieux de la macabre découverte.
La victime, native d’Orban, dans le Tarn, et résidant au Salin-de-Giraud, ne présentait aucune profession connue. Son existence, apparemment simple et retirée, venait de prendre une tournure dramatique.
Bien que trouvée presque sans vie, Jeanne-Marie Bascal succomba à l’hôpital d’Arles le lendemain matin. Le bateau L’Agriculteur, ironiquement nommé, devint le funèbre moyen de son dernier voyage vers la cité romaine. Cependant, un voile de tristesse supplémentaire enveloppait déjà cette affaire. En effet, la défunte souffrait, selon les informations recueillies, d’un « commencement d’idiotisme », terme médical de l’époque désignant un déficit intellectuel.
Orpheline de Bertrand Bascal et de Jeanne-Marie Castade, son parcours de vie s’annonçait d’autant plus fragile. Dès lors, de nombreuses questions restaient en suspens. Comment Jeanne-Marie Bascal avait-elle fini dans ces broussailles isolées ? Fut-elle victime d’un accident, d’une agression, ou son état de santé précaire l’avait-il conduite à cette extrémité ?
  • Sources : L’Homme de bronze, 15 mai 1881, p. 2.
  • État civil de la ville d’Arles, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 1411, acte n° 250.

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Une picote au gosier (Boulbon, 20 juin 1715) https://www.geneprovence.com/une-picote-au-gosier-boulbon-20-juin-1715/ https://www.geneprovence.com/une-picote-au-gosier-boulbon-20-juin-1715/#respond Sat, 21 Jun 2025 05:30:02 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25688 « Le 20 juin 1715, jour de la Fête-Dieu, a été enseveli au cimetière Saint-Marcellin, Gabriel Guigues, âgé de 24 à 25 ans, de Saint-Pierre-de-Mézoargues, de cette paroisse de Bourbon, valet…

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« Le 20 juin 1715, jour de la Fête-Dieu, a été enseveli au cimetière Saint-Marcellin,
Gabriel Guigues, âgé de 24 à 25 ans, de Saint-Pierre-de-Mézoargues, de cette paroisse de Bourbon, valet du sieur Jean Guigues, dudit Mézoargues,
Mort de la picote1 dans sa métairie de Mézoargues.
Il a été confessé pendant sa maladie et il a reçu aussi par nous l’extrême-onction, n’ayant pu recevoir le viatique à cause de la grande quantité de picote qu’il avait au gosier qui, à peine, lui permettait d’avaler le bouillon.
Anima eius requiescat in pace. »
[Perier vicaire]

Note

1. Autre nom de la variole.

  • Source : Registre paroissial de Boulbon, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 222.

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Mort de la petite vérole (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 26 avril 1693) https://www.geneprovence.com/mort-de-la-petite-verole-saint-maximin-la-sainte-baume-26-avril-1693/ https://www.geneprovence.com/mort-de-la-petite-verole-saint-maximin-la-sainte-baume-26-avril-1693/#respond Sun, 01 Jun 2025 05:30:11 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25535 « L’an que dessus et le 26 avril, est décédé Pierre Pratel, dit Tranche-Montagne, du lieu de Fébonville, en Gâtinais, soldat de la colonelle de Catinat, muni des sacrements de pénitence…

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« L’an que dessus et le 26 avril, est décédé Pierre Pratel, dit Tranche-Montagne, du lieu de Fébonville, en Gâtinais, soldat de la colonelle de Catinat, muni des sacrements de pénitence et de l’extrême onction, n’ayant pu recevoir le saint viatique, ne pouvant pas avaler, à cause que la petite vérole, dont il est mort, lui avait bouché le gosier, et a été enseveli.
Présents Maître Laurent Guion et Jean Maillet. »
[Jean Maillet, f. Joseph Agnez, curé, L. Guion]
  • Source : Registre paroissial de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Archives départementales du Var, 2 MI EC2810R1.

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Une descente de boyaux (Boulbon, 12 octobre 1713) https://www.geneprovence.com/une-descente-de-boyaux-boulbon-12-octobre-1713/ https://www.geneprovence.com/une-descente-de-boyaux-boulbon-12-octobre-1713/#respond Tue, 06 May 2025 05:30:40 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=25288 « Le 12 du […] mois d’octobre [1713], a été enseveli dans l’église paroissiale Sainte-Anne de ce lieu, Pierre Choisity, âgé de cinq ans et deux mois, fils légitime et naturel…

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« Le 12 du […] mois d’octobre [1713], a été enseveli dans l’église paroissiale Sainte-Anne de ce lieu, Pierre Choisity, âgé de cinq ans et deux mois, fils légitime et naturel à feu Me Jacques Choisity, vivant notaire et greffier, et à damoiselle Thérèse Sommille.
Il est mort le lendemain qu’on l’a entaillé pour une descente de boyaux. »
[Bondon, Perier vicaire]
  • Source : Registre paroissial de Boulbon, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 222.

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Épidémie de fièvre (Carry-le-Rouet, 1er octobre 1839) https://www.geneprovence.com/epidemie-de-fievre-carry-le-rouet-1er-octobre-1839/ https://www.geneprovence.com/epidemie-de-fievre-carry-le-rouet-1er-octobre-1839/#respond Mon, 05 May 2025 05:30:40 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=25269 Le 1er octobre 1839, on apprit que des fièvres intermittentes, de nature très grave, s’étaient déclarées parmi les douaniers qui occupaient le poste de Rouet, à Carry, et que même…

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Le 1er octobre 1839, on apprit que des fièvres intermittentes, de nature très grave, s’étaient déclarées parmi les douaniers qui occupaient le poste de Rouet, à Carry, et que même des habitants avaient été infectés.
On attribua cette épidémie au défaut de récurage des fossés d’écoulement qui produisaient des exhalaisons méphitiques. D’ordinaire, ce récurage devait être effectué par les propriétaires des prés palustres et il semble que la municipalité de Carry n’avait pas fait le nécessaire pour s’assurer de la chose.
Si le registre de décès de Carry signale deux décès durant le mois d’octobre 1839, ceux-ci ne semblent pas à être reliés à cette épidémie, les morts étant domiciliés sur le territoire de Sausset : une femme de 33 ans, domestique à gages, et un enfant de 18 mois.
  • Sources : Le Mémorial d’Aix, 5 octobre 1839, p. 3.

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