Enfant trouvé Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/enfant-trouve/ 500 ans de faits divers en Provence Thu, 18 Sep 2025 20:42:30 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.geneprovence.com/wp-content/uploads/2024/04/cropped-434541497_912630390609581_141579584347965292_n-32x32.png Enfant trouvé Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/enfant-trouve/ 32 32 Un enfant abandonné (Graveson, 12 mars 1708) https://www.geneprovence.com/un-enfant-abandonne-graveson-12-mars-1708/ https://www.geneprovence.com/un-enfant-abandonne-graveson-12-mars-1708/#respond Thu, 18 Sep 2025 20:42:30 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=26355 « L’an 1708 et le 12 mars, a été enseveli dans le cimetière de cette paroisse un enfant de naissance qu’on a trouvé à la porte de l’église avec un billet…

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« L’an 1708 et le 12 mars, a été enseveli dans le cimetière de cette paroisse un enfant de naissance qu’on a trouvé à la porte de l’église avec un billet qu’on a trouvé dans ses langes, qui nous assure avoir été baptisé, et cela après les procédures faites par messieurs les officiers de ce lieu.
En foi de ce, »
[J. Guignard, curé]
  • Registre paroissial de Graveson, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 446.

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Un enfant trouvé sur la Grande-Place (Guillestre, 25 mars 1806) https://www.geneprovence.com/un-enfant-trouve-sur-la-grande-place-guillestre-25-mars-1806/ https://www.geneprovence.com/un-enfant-trouve-sur-la-grande-place-guillestre-25-mars-1806/#respond Fri, 02 May 2025 05:30:33 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=25233 « L’an 1806 et le vingt-cinquième jour du mois de mars, à 8 heures du matin, par devant nous, Louis Deville, maire de la commune de Guillestre, officier de l’état civil…

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« L’an 1806 et le vingt-cinquième jour du mois de mars, à 8 heures du matin, par devant nous, Louis Deville, maire de la commune de Guillestre, officier de l’état civil de ladite commune, chef-lieu du canton du même nom, département des Hautes-Alpes,
Est comparu maître André Albert Reynaud, notaire de ce lieu, lequel nous a dit que ce matin sur les 6 heures, la servante de dame Marie Delphine Solles, veuve de maître Jean-Baptiste Albert Court, de ce lieu,
Sortant de la maison de sa maîtresse pour aller à l’écurie voir ses bestiaux, a trouvé à l’entrée du corridor de ladite maison qui se trouve au plain-pied de la Grande-Place de cette commune, un enfant qui nous a été présentement représenté et qui était dans un mauvais panier rempli de paille.
Cet enfant se trouvait enveloppé d’un drapeau bien propre et en toile fine, sans être emmailloté.
Il avait sur la tête un mouchoir blanc aussi en toile fine et quelques autres mauvais haillons.
Aucun de ces linges n’était marqué, mais il paraissait qu’on avait coupé tout nouvellement un coin du mouchoir qui se trouvait sur la tête de l’enfant et qui contenait quelques marques peut-être.
Après avoir visité l’enfant, [nous] avons reconnu qu’il était du sexe masculin, qu’il paraissait nouvellement né, que cet enfant n’a aucune marque sur son corps et qu’il n’a été trouvé dans le panier, ni dans la paille qu’il contenait, ni dans les linges qui enveloppaient cet enfant, aucun écrit.
De suite [nous] avons inscrit l’enfant sous les noms de Chaffrey Laurent et [nous] avons ordonné qu’il fût remis à mademoiselle Arnaud, femme de Mathieu Brun-Jalla.
De quoi [nous] avons dressé procès-verbal en présence de sieur Jean-Baptiste Villan et sieur Antoine Louis Laurans, propriétaire du présent lieu, qui ont signé avec nous, et ledit maître Reynaud, déclarant, après que lecture leur a été faite du présent procès-verbal. »
[Reynaud, Laurant, Villan, Louis Deville, maire]

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Mystère autour de la naissance de Jacques (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 8 juin 1689) https://www.geneprovence.com/mystere-autour-de-la-naissance-de-jacques-saint-maximin-la-sainte-baume-8-juin-1689/ https://www.geneprovence.com/mystere-autour-de-la-naissance-de-jacques-saint-maximin-la-sainte-baume-8-juin-1689/#respond Tue, 18 Mar 2025 05:30:03 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=24765 « Nous sur Joseph de Félix, curé en la paroisse de cette ville de Saint Maximin, Disons en faveur de la vérité pour savoir ainsi qu’il appartiendra, et au nommé Jacques,…

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« Nous sur Joseph de Félix, curé en la paroisse de cette ville de Saint Maximin,
Disons en faveur de la vérité pour savoir ainsi qu’il appartiendra, et au nommé Jacques, baptisé comme un enfant, exposé le huitième de juin dernier de la présente année,
Savoir que ce Jacques nous fut présenté par la nommée Magdeleine Augière, femme de Jean Courtès, travailleur, comme un enfant qu’elle avait trouvé casuellement hors la ville.
Et après, sur la notice qui nous fut donnée par un bruit commun, que ledit enfant n’avait pas été trouvé fortuitement, mais qu’il était du fruit de la demoiselle Cécile Danville, de la ville de Monaco, résidant pour lors au lieu d’Ollières,
Et, pour accélérer la vérité, dès le lendemain, nous aurions présenté un comparant à Monsieur le juge de cette ville, portant entre autres choses que, ayant appris par une déclaration publique que, nonobstant les interrogats réitérés que nous aurions fait tant à ladite Augière, qu’aux assistants, pour savoir l’origine dudit enfant, on ne nous avait pourtant pas dit la vérité et qu’on nous avait trompé sur le fait de ce baptême.
Nous le requérions d’accéder à la maison de ladite Augière pour apprendre de sa bouche la conduite qu’elle avait véritablement tenue concernant ledit enfant,
Sauf d’informer sur le tort et la tromperie faite à l’Église et, après notre requis, ledit sieur juge serait accédé à la maison de ladite Augière et pris son exposition sur le fait.
En suite de quoi ledit sieur juge aurait ordonné qu’il serait informé sur notre comparant et que, cependant, ledit Jacques, baptisé, serait mis entre les mains de Jeanne Courtès, femme de Gaspard Aubert, en qualité de séquestre de justice,
Ce qui étant venu à la notice de ladite demoiselle Danville, elle nous aurait fait deux jours après une sommation et signifié un extrait d’acte de mariage fait par le curé de la paroisse de Saint-Martin, de la ville de Marseille, le 31 janvier dernier, entre elle et Monsieur Joseph d’Antoine, fils à feu Monsieur François d’Antoine, vivant conseiller au Parlement, et de dames Anne d’Agoult, lesquels ont ensuite demeuré ensemble en cette ville,
Et sur le nom de Monsieur le procureur du roi et en leur nom propre, ont fait des procédures devant ledit sieur juge pour faire déclarer ledit Jacques légitime et leur appartenir,
Et faire insérer dans ce registre des baptêmes que ledit Jacques était leur fils légitime et naturel,
Auxquelles informations on peut avoir recours pour découvrir la vérité du fait.
Mais comme de toutes ces procédures, il n’y a pas eu encore aucune sentence et que les parties n’ont point fait devant nous aucune exposition, nous avons voulu notifier ce que dessus.
Pour servir à qui il appartiendra, en foi de quoi avons signé le 30 décembre 1689. »
[F. de Félix curé]
  • Source : Registre paroissial de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Archives départementales du Var, 2 MI EC2809R1.

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Bonaventure abandonné devant le couvent (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 21 juin 1683) https://www.geneprovence.com/bonaventure-abandonne-devant-le-couvent-saint-maximin-la-sainte-baume-21-juin-1683/ https://www.geneprovence.com/bonaventure-abandonne-devant-le-couvent-saint-maximin-la-sainte-baume-21-juin-1683/#respond Thu, 05 Sep 2024 16:57:31 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=22083 « L’an 1683 et le 21 juin a été baptisé sous condition un enfant qui a été porté au couvent des Révérends Pères Capucins, à minuit, sans savoir le père ni…

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« L’an 1683 et le 21 juin a été baptisé sous condition un enfant qui a été porté au couvent des Révérends Pères Capucins, à minuit, sans savoir le père ni la mère dudit garçon, âgé d’environ deux mois, et sans avoir sur lui aucun billet pour marquer qu’il avait été baptisé, ce qui nous a obligé de le baptiser sous condition.
Son nom de baptême a été Bonaventure.
Son parrain a été Honoré Giraud, la marraine Thérèse Jauffroide.
Le parrain a signé. »
[H. Giraud, J. Lande, secondaire]
  • Source : Registre paroissial de Saint-Maximin, AD83 2 MI EC2809R1.

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Le corps d’un enfant abandonné chez le châtelain (Le Puy-Saint-Eusèbe, 28 juillet 1765) https://www.geneprovence.com/le-corps-dun-enfant-abandonne-chez-le-chatelain-le-puy-saint-eusebe-28-juillet-1765/ https://www.geneprovence.com/le-corps-dun-enfant-abandonne-chez-le-chatelain-le-puy-saint-eusebe-28-juillet-1765/#respond Mon, 06 May 2024 18:33:35 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=20678 L’an 1765 et le 29 juillet, j’ai donné la sépulture ecclésiastique au cadavre d’un enfant déposé dans la maison de sieur Jean Garcier, châtelain du Puy-Saint-Eusèbe, en conséquence du décret…

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L’an 1765 et le 29 juillet, j’ai donné la sépulture ecclésiastique au cadavre d’un enfant déposé dans la maison de sieur Jean Garcier, châtelain du Puy-Saint-Eusèbe, en conséquence du décret de Me Antoine, juge du marquisat de Savines, le 28 juillet 1765, conçu ainsi qu’il suit en suite de l’ordonnance sur la comparution faite par-devant nous par Maître Agnel, avocat et procureur au baillage et autres juridictions de l’Embrunais, faisant les fonctions de procureur juridictionnel au marquisat de Savines,
Par laquelle il a requis l’inhumation du cadavre d’un enfant au verbal fait par-devant le châtelain de la communauté du Puy-Saint-Eusèbe, le jour d’hier, par Jean Masse, habitant audit Puy-Saint-Eusèbe, et joint à la procédure par nous, prise en conséquence ce jourd’hui,
Nous permettons au sieur curé de la paroisse du Puy-Saint-Eusèbe de faire inhumation aux formes ordinaires dudit cadavre, lequel est dans la maison de sieur Jean Garcier, châtelain dudit lieu.
Fait au Puy-Saint-Eusèbe le 29 juillet 1765, à l’original, Antoine juge, lequel décret demeure joint à un des registres de ladite paroisse.
Aux présences de
[C. Garcier, C. Seard, Meyere curé]
  • Source : Registre paroissial du Puy-Saint-Eusèbe, Archives départementales des Hautes-Alpes, 2 E 113/1/7.

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Un enfant trouvé (Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 31 janvier 1803) https://www.geneprovence.com/enfant-trouve-saint-maximin-31-janvier-1803/ https://www.geneprovence.com/enfant-trouve-saint-maximin-31-janvier-1803/#respond Mon, 23 Sep 2019 13:17:07 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=17203 Ce jour d’hui, 11 pluviose an 11 de la République française une et indivisible, nous Pierre-Jean-Baptiste Fresquier, juge de paix du canton de St Maximin, 1er arrondissement communal du département…

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Ce jour d’hui, 11 pluviose an 11 de la République française une et indivisible, nous Pierre-Jean-Baptiste Fresquier, juge de paix du canton de St Maximin, 1er arrondissement communal du département du Var, ayant été informé qu’il y avait un enfant exposé à l’hospice civil de cette ville, nous nous sommes sur le champ transporté audit hospice, où étant arrivé, nous avons trouvé un enfant de sexe masculin paraissant avoir quelques heures et enveloppé de deux maillots de drap vieux, couleur vert d’olive, une sangle jaune mauvaise, une chemise de toile et deux calottes de bazin (?) rouge, dont une garnie de dentelle, lesdits linges n’ayant aucune marque.
Enfant endormi, Bernardo Strozzi, Residenzgalerie, Salzbourg,  v. 1610.
Enfant endormi, Bernardo Strozzi, Residenzgalerie, Salzbourg, v. 1610.
Le citoyen Bonnety, infirmier dudit hospice, nous a déclaré que cet enfant avait été déposé à l’hospice par Madeleine Bellon, épouse Rebuffat, sage-femme de cette ville et par Anne Augier, épouse de Philippe Aubregat.
Et à l’instant comparue Madeleine Bellon, épouse Rebuffat, sage-femme de cette ville, laquelle a dit que ce jour d’hui, vers les deux heures du matin, Anne Augier, épouse Aubregat, est venue l’appeler, et qu’étant descendue, elle a trouvé ladite Augier, un homme qu’elle n’a pu reconnaître, masqué, enveloppé dans un manteau de drap bleu et que ce dernier lui a dit de le suivre, qu’étant arrivée au quartier du Réal Vieux, elle a trouvé une personne également masquée et enveloppée dans son manteau, qu’elle présumait être une femme et qu’au même instant, l’homme qui l’a conduite après avoir parlé à cette femme a remis à la déposante un enfant en lui disant “retournez à St Maximin et gardez-vous bien de parler de ce que vous avez vu”. Et a déclaré ne savoir signer.
L'hôtel de ville de Saint-Maximin qui abritait l'hospice au début du XIXe siècle. DR.
L’hôtel de ville de Saint-Maximin qui abritait l’hospice au début du XIXe siècle. DR.
Est aussi comparue Anne Augier, épouse de Philippe Aubregat, laquelle a dit que ce jourd’hui, vers les deux heures du matin, elle a entendu frapper à sa porte et la personne qui frappait ayant demandé de la lumière, elle a ouvert de suite, et qu’elle a trouvé un homme masqué et enveloppé d’un manteau qui lui a dit de la conduire de suite chez une sage-femme, à quoi référant, la déposante l’a conduit chez Madeleine Bellon, sage-femme de cette ville, cette dernière s’étant jointe à eux, ils ont été sur la demande qui leur en a été faite par l’inconnu au quartier du Réal Vieux, où, étant arrivés, cet inconnu a remis à Madeleine Bellon, un enfant qu’il a pris d’entre les bras d’une femme également masquée et enveloppée de son manteau, en lui disant “retournez à St Maximin et gardez-vous bien de parler de ce que vous avez vu”. Et a déclaré ne savoir signer.
Nous avons ordonné audit Bonnety de remettre ledit enfant entre les mains des citoyens administrateurs dudit hospice chargés de la nourriture et entretien des enfants trouvés, lequel s’en est chargé et a déclaré ne savoir signer.
Ordonnons en outre qu’un double du présent sera transmis dans les 24 heures au citoyen officier public de cette ville pour être annexé aux registres de naissance de l’état civil.
Fait à St Maximin, les dits jour, mois et an que dessus.
Signé l’original Fresquier, juge de paix et Auguste Ricard, greffier adjoint.
Pour copie conforme.
  • Source : AD Var, 2 MI EC 2819-R1.
  • Texte transmis par Stéphanie Dick

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Un enfant trouvé sur le chemin (Fos-sur-Mer, 26 février 1777) https://www.geneprovence.com/un-enfant-trouve-sur-le-chemin-fos-sur-mer-26-fevrier-1777/ https://www.geneprovence.com/un-enfant-trouve-sur-le-chemin-fos-sur-mer-26-fevrier-1777/#respond Fri, 25 Sep 2015 08:53:29 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=15280 « L’an 1777 et le 26e février, a été baptisée Jeanne, née de parents inconnus et trouvée en chemin par Geneviève Noyer. Le parrain a été Joseph Gouin et la marraine…

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Place centrale de Fos-sur-Mer (aujourd'hui place de la République). DR.
Place centrale de Fos-sur-Mer (aujourd’hui place de la République). DR.
« L’an 1777 et le 26e février, a été baptisée Jeanne, née de parents inconnus et trouvée en chemin par Geneviève Noyer.
Le parrain a été Joseph Gouin et la marraine Geneviève Noyer, tous illitérés. »
  • Registre paroissial de Fos-sur-Mer

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Un enfant trouvé (L’Hospitalet, 27 novembre 1809) https://www.geneprovence.com/un-enfant-trouve-lhospitalet-27-novembre-1809/ https://www.geneprovence.com/un-enfant-trouve-lhospitalet-27-novembre-1809/#respond Mon, 30 Jan 2012 00:01:00 +0000 http://s430202914.onlinehome.fr/geneprovence/?p=145 L’an mil huit cent neuf et le vingt-sept du mois de novembre, à six heures du matin, pardevant nous Pierre Maurel, maire, officier de l’état-civil de la commune de L’Hospitalet, canton de Banon, département des Basses-Alpes, est comparue Anne Imbert, accoucheuse de ladite commune, épouse de Pancrace Vial, laquelle nous a présenté un enfant du sexe masculin qu’elle a trouvé

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bebe-panier« L’an mil huit cent neuf et le vingt-sept du mois de novembre, à six heures du matin, pardevant nous Pierre Maurel, maire, officier de l’état-civil de la commune de L’Hospitalet, canton de Banon, département des Basses-Alpes, est comparue Anne Imbert, accoucheuse de ladite commune, épouse de Pancrace Vial, laquelle nous a présenté un enfant du sexe masculin qu’elle a trouvé à la porte de sa maison emmailloté sans autre linge ni marque, âgé d’environ deux jours, par lequel a été porté à l’hospice civil de Mane ledit jour. »
  • Registre d’état civil de L’Hospitalet
  • Crédit photographique : © Alexey Rumyantsev – Fotolia.com

 

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L’enfant trouvé de Notre-Dame-de-la-Garde (Marseille, 20 août 1880) https://www.geneprovence.com/lenfant-trouve-de-notre-dame-de-la-garde-marseille-20-aout-1880/ https://www.geneprovence.com/lenfant-trouve-de-notre-dame-de-la-garde-marseille-20-aout-1880/#respond Thu, 02 Jun 2011 09:00:00 +0000 http://s430202914.onlinehome.fr/geneprovence/?p=244 « Il résulte d’un procès-verbal en date du 20 août 1880 dressé par le commissaire de police du 14e arrondissement de Marseille que ledit jour, la femme Simeria Marie, âgée de 24 ans, demeurant rue Fort-du-Sanctuaire, s’est présentée, portant un enfant de naissance du sexe masculin et a déclaré audit fonctionnaire quelle venait de retirer cet enfant des mains des nommés Bourguignon et Marecha, tous

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« Il résulte d’un procès-verbal en date du 20 août 1880 dressé par le commissaire de police du 14e arrondissement de Marseille que ledit jour, la femme Simeria Marie, âgée de 24 ans, demeurant rue Fort-du-Sanctuaire, s’est présentée, portant un enfant de naissance du sexe masculin et a déclaré audit fonctionnaire quelle venait de retirer cet enfant des mains des nommés Bourguignon et Marecha, tous deux demeurant 7, boulevard Vauban, lesquels venaient de trouver cette petite créature déposée sur un tas de pierres sur la colline Notre-Dame-de-la-Garde, au lieu-dit La Croix.
Que l’auteur de cette exposition n’ayant pu être découvert, l’enfant a été placé d’urgence à l’hospice de la Conception.
Il était porteur d’un maillot gris, d’un lange marqué aux initiales M. R., d’une petite chemise blanche, d’un caraco noir avec points noirs, d’une sangle à petits points bleus et blancs, d’un bonnet blanc piqué. La tête était recouverte d’un mouchoir blanc aux initiales E. B.
Nous avons reconnu que cet enfant est du sexe masculin et lui avons donné les noms de Marius Lagarde. »
  • État civil de Marseille, registre des transcriptions

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« Aves pitié de ce pauvre innocente » (Marseille, 2 août 1880) https://www.geneprovence.com/aves-pitie-de-ce-pauvre-innocente-marseille-2-aout-1880/ https://www.geneprovence.com/aves-pitie-de-ce-pauvre-innocente-marseille-2-aout-1880/#respond Sun, 10 Apr 2011 00:01:00 +0000 http://s430202914.onlinehome.fr/geneprovence/?p=261 L’an mil huit cent quatre vingt et le dix août, il résulte d’un procès-verbal de M.

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mereabandonL’an mil huit cent quatre vingt et le dix août, il résulte d’un procès-verbal de M. Jean Antoine Moulin, commissaire de police du 15e arrondissement de la ville de Marseille que le deux août, le brigadier des gardiens de la paix Wilhelm Jean-Charles, demeurant rue Gourjon, 5, s’est présenté devant ledit officier et a fait la déclaration suivante :
« Ce matin, vers 5 heures, Mme Bresson qui habite dans la même maison que moi est venue me prévenir chez moi qu’elle venait de trouver un enfant âgé d’environ deux mois, dans le couloir de la maison, rue Gourjon, 8. J’ai engagé cette femme à le garder et suis venu vous informer de cet abandon d’enfant. »
Ladite dame Bresson Marie, née Felten, âgée de 50 ans, tailleuse, demeurant dite rue Gourjon, 5, qui se présente ensuite en notre bureau avec le susdit enfant nous déclare :
« Vers 4 heures et demie, m’étant levée et mise à la croisée, j’ai entendu les vagissements d’un enfant partir du couloir de la maison, rue Gourjon, 8, en face de celle où j’habite. Je suis descendue pour voir ce que c’était et, arrivée dans la rue, un locataire qui descendait m’a crié : « Tiens ! Voilà un enfant ! » Je l’ai pris et l’ai porté chez le brigadier Wilhelm qui m’a engagé à le garder jusqu’à ce que votre bureau soit ouvert. Comme l’enfant était mouillé, je l’ai démailloté en présence du brigadier et nous avons trouvé dans les langes le billet que je vous remets. »
(Ce billet est conçu en ces termes : « Aves pitié de ce pauvre innocente i s’appella Marie Fortunato. Marseille 2 août 1880. »)
« Je ne puis fournir d’autres renseignements. »
Que lecture faite ladite dame persiste et dit ne savoir signer.
Que ledit fonctionnaire a procédé à l’inventaire des langes trouvées sur l’enfant qui était couché derrière la porte du corridor, rue Gourjon, 8, sur un morceau de toile de matelas à raies bleues et blanches.[pullquote] »Aves pitié de ce pauvre innocente i s’appella Marie Fortunato. Marseille 2 août 1880. »[/pullquote] Que l’enfant est du sexe féminin, âgée de deux mois environ. Une sangle en toile blanche l’entourait. Il était enveloppé d’un maillot en fil et coton provenant d’un vieux châle à raies d’inégale largeur rouges et vertes, d’une serviette en toile blanche avec deux raies bleues. Une pointe en indienne à raies violettes et blanches est placée autour du cou croisée sur la poitrine et liée derrière le dos. Deux bonnets couvrant la tête, celui de dessous est en piqué blanc avec un petit feston sur le bord ; celui du dessus est en coton tricoté. Un biberon en caoutchouc était dans une petite bouteille de lait.
Après ces constatations et toutes les investigations dans le quartier pour arriver à la découverte de l’auteur de cet abandon, étant sans résultat, l’enfant dont s’agit a été transporté à l’hospice de la Conception.
Nous avons reconnu que cet enfant est du sexe féminin. Nous lui avons donné le nom de Marie Fortune et l’avons fait reporter à l’hospice de la Conception.
  • Registre des transcriptions, état-civil de Marseille

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