Phénomène météorologique Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/phenomene-meteorologique/ 500 ans de faits divers en Provence Wed, 06 Aug 2025 21:51:05 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.geneprovence.com/wp-content/uploads/2024/04/cropped-434541497_912630390609581_141579584347965292_n-32x32.png Phénomène météorologique Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/phenomene-meteorologique/ 32 32 Quand le tonnerre gronde (La Verdière, 7 octobre 1839) https://www.geneprovence.com/quand-le-tonnerre-gronde-la-verdiere-7-octobre-1839/ https://www.geneprovence.com/quand-le-tonnerre-gronde-la-verdiere-7-octobre-1839/#respond Mon, 19 May 2025 05:30:11 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25459 Un violent orage s’abattit sur le village de la Verdière, dans le Haut-Var, le lundi 7 octobre 1839. La foudre, notamment, tomba sur le château et, après avoir endommagé le…

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Un violent orage s’abattit sur le village de la Verdière, dans le Haut-Var, le lundi 7 octobre 1839. La foudre, notamment, tomba sur le château et, après avoir endommagé le grand escalier, alla enlever la porte d’une citerne que l’on retrouva au milieu du village, malgré la distance qui les sépare.
Presque au même moment, le tonnerre tomba sur une maison de campagne, du nom de « L’Américaine » et sur une autre bastide sur le chemin de Varages.
Par chance, aucun de ces incidents ne provoqua de blessés et les habitants de La Verdière en furent quittes pour la peur.
  • Sources : Le Mémorial d’Aix, 12 octobre 1839, p. 2, 3.

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Un orage terrible (Puyloubier, 13 juin 1848) https://www.geneprovence.com/un-orage-terrible-puyloubier-13-juin-1848/ https://www.geneprovence.com/un-orage-terrible-puyloubier-13-juin-1848/#respond Tue, 15 Apr 2025 05:30:51 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25059 Le 13 juin 1848, un terrible orage éclate sur de nombreuses communes des Bouches-du-Rhône. Il semblerait que celui-ci ait causé la mort d’au moins deux hommes, un à Cabriès et…

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Le 13 juin 1848, un terrible orage éclate sur de nombreuses communes des Bouches-du-Rhône. Il semblerait que celui-ci ait causé la mort d’au moins deux hommes, un à Cabriès et l’autre aux Milles.
À Puyloubier aussi, la foudre fait des dégâts. Elle tomba sur une maison de campagne appelée L’Avocat, maison habitée par plusieurs personnes. Heureusement, il n’y mourut personne mais quatre mulets et vingt-six brebis furent tués sur le coup.
Un homme cherchant à fuir l’orage fut légèrement blessé à la jambe.
La foudre s’était introduite par la toiture et, après avoir causé beaucoup de dégâts dans diverses pièces, elle explosa dans la bergerie avec les dégâts indiqués ci-dessus.
Les pertes étaient considérables (environ 4000 francs) et Laurent Nozilia, le ménager qui exploitait la ferme se retrouva sans ressources, hormis quelques meubles que la foudre avait respectés.
Le recensement de 1846, soit deux ans avant le drame, indiquait que vivaient à L’Avocat six personnes : Jean-Baptiste Nozilia, 68 ans, chef de famille, son épouse Marie Jauffret, 59 ans, et leurs trois enfants, le fameux Laurent, 34 ans, Joseph, 17 ans et Joséphine, 15 ans. Avec eux vivait un valet à gages, Laurent Magne, 25 ans, qui pourrait être l’homme blessé à la jambe.
Quartier de L’Avocat, à Puyloubier. © DR.
  • Sources : La Gazette du Midi, 19 juin 1848, p. 2.
  • Recensement de la commune de Puyloubier, année 1846, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 6 M 73.

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Un terrible orage (Méthamis, 15 mai 1868) https://www.geneprovence.com/un-terrible-orage-methamis-15-mai-1868/ https://www.geneprovence.com/un-terrible-orage-methamis-15-mai-1868/#respond Fri, 11 Apr 2025 05:30:42 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25019 Dans la journée du vendredi 15 mai 1868, un orage très violent éclata sur Méthamis. La foudre tomba en plusieurs endroits. Elle frappa d’abord le clocher de l’église où, suivant…

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Dans la journée du vendredi 15 mai 1868, un orage très violent éclata sur Méthamis. La foudre tomba en plusieurs endroits.
Elle frappa d’abord le clocher de l’église où, suivant une déplorable habitude, on sonnait les cloches dans le but de disperser les nuages. Sébastien Cartoux, qui remplissait alors les fonctions de sonneur, fut violemment renversé à terre. Il eut la jambe droite noircie et brûlée, et, fait assez curieux, il eut son bas et son soulier enlevés.
Quant à l’église, elle subit quelques dégâts matériels. Une lézarde se produisit sur le mur sud. Une cloison de la sacristie fut dégradée et la couronne d’une vierge fut enlevée. Les dommages furent évalués à une cinquantaine de francs.
La foudre tomba aussi dans la cuisine de l’établissement des religieuses. Il y avait alors dans cette pièce la sœur Saint-Gervais avec quatre petites filles. Cette religieuse fut renversée, reçut plusieurs brûlures et eut la jambe paralysée.
La petite Zoé Roux, âgée de douze ans, une des élèves qui se trouvaient là, fut renversée avec une violence telle qu’elle resta sans connaissance et qu’on la crut morte pendant un instant. Par chance, à force de soins, elle fut ramenée à la vie.
Les trois autres petites filles présentes n’eurent pas de mal et en furent quittes pour la peur.
De plus, dans la maison d’un nommé Véran Saunier, attenante à l’église, la foudre tomba dans l’écurie et tua une chèvre. Un mulet, qui se trouvait très près, ne fut pas atteint.
Enfin, trois ouvriers maçons, qui travaillaient à côté de l’habitation de Saunier, furent violemment renversés par la décharge électrique mais se relevèrent sans blessures ni contusions.
Les récoltes, fort heureusement, n’eurent pas à souffrir de cet orage.
  • Source : Le Petit Marseillais, 28 mai 1868, p. 3.

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Asphyxié par la foudre d’un tonnerre (Cabriès, 13 juin 1848) https://www.geneprovence.com/asphyxie-par-la-foudre-dun-tonnerre-cabries-13-juin-1848/ https://www.geneprovence.com/asphyxie-par-la-foudre-dun-tonnerre-cabries-13-juin-1848/#respond Tue, 01 Apr 2025 05:30:45 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=24898 Dans une édition de juin 1848, le journal Courrier de Marseille indiqua la mort d’un laboureur de Cabriès du fait de la foudre. Le journaliste indiquait que : « L’orage qui…

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Dans une édition de juin 1848, le journal Courrier de Marseille indiqua la mort d’un laboureur de Cabriès du fait de la foudre. Le journaliste indiquait que :
« L’orage qui a éclaté avant-hier matin, a occasionné un bien douloureux événement dans une habitation de campagne dans la commune de Cabriès. Le tonnerre est entré dans la maison, après en avoir fait sauter la porte, et a tué sur le coup un laboureur au moment où il s’habillait. Deux autres personnes qui étaient dans le même appartement ont été gravement blessées. »
L’acte de décès de la victime, du nom de Jean Turc, apporte des détails intéressants :
« L’an 1848 et le 14 du mois de juin, à 8 heures du matin, pardevant nous Antoine Casimir Bertet, maire provisoire […],
Ont comparus [deux témoins qui] nous ont déclaré que hier 13 [juin] courant à six heures du matin,
Le nommé Jean Turc, natif de Séon-Saint-Henry, quartier de l’Estaque, terroir de Marseille, domicilié et demeurant en la commune de Châteauneuf-lès-Martigues, fils de feu Jean-André Turc et de feue Marie Guieu, époux de Marie-Virginie Calvin,
Est décédé asphyxié par la foudre d’un tonnerre, dans la maison du citoyen Denis-Pierre Gibaud, propriétaire cultivateur, et Marie-Anne Roustant, où il se trouvait de passage, sise en cette commune de Cabriès, au hameau de Labory, no 199 […]. »
  • Sources : La Gazette du Midi, 16 juin 1848, p. 2.
  • État civil de Cabriès, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, acte 10, 202 E 398.

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Un éclair s’abat sur l’église (Vaugines, 2 novembre 1840) https://www.geneprovence.com/un-eclair-sabat-sur-leglise-vaugines-2-novembre-1840/ https://www.geneprovence.com/un-eclair-sabat-sur-leglise-vaugines-2-novembre-1840/#respond Thu, 27 Feb 2025 05:30:18 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=24593 Un drame s’abattit sur la commune de Vaugines début novembre 1840. Alors que les habitants se rassemblaient à l’église pour une cérémonie funèbre, un violent orage éclata sur le village.…

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Un drame s’abattit sur la commune de Vaugines début novembre 1840. Alors que les habitants se rassemblaient à l’église pour une cérémonie funèbre, un violent orage éclata sur le village. La foudre tomba sur une maison, causant d’importants dégâts.

Dans l’après-midi du 2 novembre, vers six heures, le ciel s’était assombri et la pluie avait commencé à tomber. Tandis que les fidèles assistaient à l’office des morts, un éclair foudroya une demeure située au cœur du village. Le courant d’air qui existait entre la cheminée et la porte d’entrée servit de conducteur à la foudre, qui pénétra à l’intérieur de le la maison.
Fort heureusement, les occupants, deux femmes dont l’une allaitait son enfant, furent miraculeusement épargnées. Assises près du feu, elles assistèrent, impuissantes, à la scène. Si les dégâts matériels furent importants, aucun blessé ne fut heureusement à déplorer.

Retrouvez la vidéo de ce fait divers ici :

  • Sources : Le Mercure aptésien, 8 novembre 1840, p. 3.

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Le sirocco ravage la campagne (Aubagne, 1er mai 1848) https://www.geneprovence.com/sirocco-ravage-la-campagne-aubagne-1er-mai-1848/ https://www.geneprovence.com/sirocco-ravage-la-campagne-aubagne-1er-mai-1848/#respond Sun, 16 Feb 2025 05:30:34 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=24471 Lundi 1er mai 1848, un violent sirocco s’abattit sur Marseille et ses environs. Les vents hurlants et la pluie battante sévirent toute l’après-midi et la soirée. Les campagnes alentour, et…

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Lundi 1er mai 1848, un violent sirocco s’abattit sur Marseille et ses environs. Les vents hurlants et la pluie battante sévirent toute l’après-midi et la soirée. Les campagnes alentour, et particulièrement celles d’Aubagne, furent les plus durement touchées.
Les arbres, qu’ils fussent fruitiers ou d’ornement, ne résistèrent pas à la furie des éléments. Oliviers centenaires, cerisiers en fleurs, abricotiers gorgés de fruits, poiriers, presque tous succombèrent sous les rafales. Les branches gisaient à terre, mêlées aux fruits arrachés de leurs branches. Le sol était jonché de fruits encore verts, une perte considérable pour les agriculteurs qui attendaient avec impatience la récolte.
Le lendemain matin, le paysage était désolé. Les champs, autrefois verdoyants et prometteurs, étaient désormais parsemés de débris. Les paysans, abattus, contemplaient les dégâts causés par la tempête. Les espoirs de récoltes abondantes s’étaient envolés en quelques heures.
Heureusement, une pluie douce succéda à cette tourmente, apportant un peu de réconfort aux cultivateurs. Les pluies pourraient aider à régénérer les sols et à favoriser de nouvelles pousses. On espérait notamment que les légumes et les céréales n’auraient pas trop souffert de cette épreuve et que la nature saurait se remettre de ce coup dur.
  • Sources : La Gazette du Midi, 4 mai 1848, p. 3.

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Une frayeur bleue au café d’Aragon (Les Arcs, 17 mai 1868) https://www.geneprovence.com/une-frayeur-bleue-au-cafe-daragon-les-arcs-17-mai-1868/ https://www.geneprovence.com/une-frayeur-bleue-au-cafe-daragon-les-arcs-17-mai-1868/#respond Wed, 12 Feb 2025 05:30:54 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=24421 Dimanche 17 mai 1868, l’après-midi s’annonçait paisible aux Arcs, une commune du Var située au sud de Draguignan. Pourtant, le ciel, qui était jusque-là clément, se chargea soudain de nuages…

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Dimanche 17 mai 1868, l’après-midi s’annonçait paisible aux Arcs, une commune du Var située au sud de Draguignan. Pourtant, le ciel, qui était jusque-là clément, se chargea soudain de nuages menaçants. Un orage violent éclata, et la foudre, capricieuse, choisit une cible inattendue : le café d’Aragon.
L’établissement, qui ne désemplissait pas en ce jour dominical, offrait un refuge chaleureux aux habitués. Soudain, un éclair fulgura et la foudre s’introduisit avec fracas par le tuyau du poêle. Un silence de mort suivit l’instant de stupeur. La suie, projetée par l’impact, recouvrit les visages, qui devinrent aussitôt livides. L’air se chargea d’une odeur âcre.
Les clients, qui discutaient joyeusement quelques instants auparavant, restèrent figés, les yeux écarquillés. On entendait les cœurs battre à tout rompre. Heureusement, après cette intrusion spectaculaire, la foudre ressortit aussi vite qu’elle était apparue, sans causer de blessures.
L’incident, bien que terrifiant, se solda par une simple frayeur. On se souvint longtemps de cet orage qui visita le café d’Aragon, transformant une paisible après-midi en un moment de pure adrénaline. La foudre, ce jour-là, avait choisi d’effrayer plutôt que de tuer.
  • Source : Le Petit Marseillais, 20 mai 1868, p. 2.

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Mort par un coup de tonnerre (Boulbon, 11 septembre 1708) https://www.geneprovence.com/mort-par-un-coup-de-tonnerre-boulbon-11-septembre-1708/ https://www.geneprovence.com/mort-par-un-coup-de-tonnerre-boulbon-11-septembre-1708/#respond Sun, 19 Jan 2025 05:30:52 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=24179 « L’an 1708 et le douzième du mois de septembre, a été enseveli dans l’église Sainte-Anne de ce lieu, Richard Béchet, ménager, âgé d’environ 60 ans, mort dans la nuit précédente,…

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« L’an 1708 et le douzième du mois de septembre, a été enseveli dans l’église Sainte-Anne de ce lieu,
Richard Béchet, ménager, âgé d’environ 60 ans, mort dans la nuit précédente, à son aire, par un coup de tonnerre.
Anima eius requiescat in pace. »
[Périer vicaire]
  • Source : Registre paroissial de Boulbon, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 203 E 222.

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Réfugiée à cause des grandes pluies (Boulbon, 1er décembre 1689) https://www.geneprovence.com/refugiee-a-cause-des-grandes-pluies-boulbon-1er-decembre-1689/ https://www.geneprovence.com/refugiee-a-cause-des-grandes-pluies-boulbon-1er-decembre-1689/#respond Sat, 14 Dec 2024 05:30:14 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=23717 « L’an 1689 et le second du mois de décembre, Jean Consolin, hôte et rentier du mas de Granel, dans le terroir de ce lieu, s’est présenté à nous et nous…

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« L’an 1689 et le second du mois de décembre, Jean Consolin, hôte et rentier du mas de Granel, dans le terroir de ce lieu, s’est présenté à nous et nous a requis de baptiser une fille, dont s’était accouchée hier une fille nommée Marguerite, qui s’était là réfugiée depuis les grandes pluies du mois d’octobre dernier, dont il ne sait pas le surnom ni la qualité ni l’origine.
À quoi adhérants avons procédé à la cérémonie et l’avons baptisée et a été appelée Magdeleine.
Le parrain a été ledit Jean Consolin et la marraine Magdeleine Blanc.
En foi de ce, avons signé les présentes, à Bourbon les an et jour susdits, n’ayant point trouvé d’autres témoins, attendu le jour ouvrable. »
[Lande vicaire]
  • Source : Registre paroissial de Boulbon, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, cote 203 E 221.

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La sœur de l’ermite frappée par la foudre (Le Brusquet, 5 août 1730) https://www.geneprovence.com/soeur-ermite-frappee-par-foudre-brusquet-aout-1730/ https://www.geneprovence.com/soeur-ermite-frappee-par-foudre-brusquet-aout-1730/#respond Tue, 12 Nov 2024 05:30:12 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=23177 « Le cinquième août 1730, Geneviève Paulon, âgée d’environ 33 ans, fille à feu Jean-Baptiste, étant dans l’Ermitage de Notre-Dame de Lausière avec Jean Paulon, son frère, ermite dudit lieu, elle…

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« Le cinquième août 1730, Geneviève Paulon, âgée d’environ 33 ans, fille à feu Jean-Baptiste, étant dans l’Ermitage de Notre-Dame de Lausière avec Jean Paulon, son frère, ermite dudit lieu, elle fut frappée de mort par un coup de tonnerre.
Le même jour, son corps fut descendu et reposé dans la chapelle de Saint-Joseph et lendemain inhumé à la sépulture de ses ancêtres.
Nous ne croyons pas que cette mort imprévue ait surpris cette fille par la raison qu’elle fréquentait les sacrements de pénitence et d’eucharistie, et qu’elle les avait même reçus lundi dernier dans notre église paroissiale.
Par nous, curé soussigné. »
[Frère Jean Paulon, ermite, Engelfred, curé]
  • Registre paroissial du Brusquet, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 1MI5/0096.

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