83 - Fréjus Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/83-frejus/ 500 ans de faits divers en Provence Thu, 23 Oct 2025 07:52:05 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.geneprovence.com/wp-content/uploads/2024/04/cropped-434541497_912630390609581_141579584347965292_n-32x32.png 83 - Fréjus Archives - GénéProvence https://www.geneprovence.com/category/83-frejus/ 32 32 Le muletier noyé (Valensole, 2 mars 1698) https://www.geneprovence.com/le-muletier-noye-valensole-2-mars-1698/ https://www.geneprovence.com/le-muletier-noye-valensole-2-mars-1698/#respond Thu, 23 Oct 2025 07:52:05 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=26652 « L’an 1698 et le 2 de mars, Honoré Gros, muletier, fils de Pierre Gros et d’Anne … [sic], natif du lieu de Figanières, diocèse de Fréjus, a été enterré avec…

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« L’an 1698 et le 2 de mars, Honoré Gros, muletier, fils de Pierre Gros et d’Anne[sic], natif du lieu de Figanières, diocèse de Fréjus, a été enterré avec les cérémonies ordinaires de l’Église, dans le cimetière de cette paroisse,
Ayant été malheureusement suffoqué par les eaux le jour précédent, en passant la rivière d’Asse, selon le rapport fidèle qui nous en a été fait par Jean Pélicier, aussi muletier dudit lieu,
Lequel nous a de plus assuré que ledit Honoré Gros était bon catholique.
Présents M. Joseph Blanc, sacristain, et M. Pierre Dolluon, bourgeois, lesquels ont signé avec nous, vicaire de cette paroisse, qui avons fait l’office de son enterrement. »
[Signatures]
  • Source : Registre paroissial de Valensole, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 1MI5/0133.

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La veuve et le valet (Fréjus, 15 mai 1895) https://www.geneprovence.com/la-veuve-et-le-valet-frejus-15-mai-1895/ https://www.geneprovence.com/la-veuve-et-le-valet-frejus-15-mai-1895/#respond Wed, 02 Jul 2025 05:30:25 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25813 Le mercredi 15 mai 1895, au matin, M. Louis Destelle, cultivateur de 53 ans habitant Fréjus (Var), mourait subitement, sans que rien ne fît prévoir une fin aussi brusque. Au contraire, il jouissait jusqu’alors…

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Le mercredi 15 mai 1895, au matin, M. Louis Destelle, cultivateur de 53 ans habitant Fréjus (Var), mourait subitement, sans que rien ne fît prévoir une fin aussi brusque. Au contraire, il jouissait jusqu’alors d’une santé merveilleuse. Aussi cette mort impressionna-t-elle tout le monde et bientôt la rumeur publique accusa la veuve, Marie Sénéquier, d’avoir empoisonné son mari, de connivence avec son valet, un certain Pierre Fougerat.
Le fils Destelle, brouillé avec ses parents pour des raisons familiale, habitait à Saint-Raphaël. Prévenu du malheur qui le frappait, il accourut à Fréjus pour voir son père, et tout aussitôt les mêmes soupçons assaillirent son esprit.
Depuis longtemps déjà, il savait, d’ailleurs, que sa mère voulait le dépouiller de ses biens pour les mettre sur la tête de Fougerat.
Il alla donc trouver M. Antoine Foata, commissaire de police, et il rédigea une plainte en règle.
Le parquet de Draguignan, averti immédiatement, envoya le lendemain, vers les trois heures, pour faire une enquête, MM. Guichon de Grandpont, juge d’instruction, Michel, substitut du procureur de la République, le juge suppléant, Balp, docteur en médecine, et Lamy, greffier du parquet.
Pendant que M. Balp procédait à l’autopsie, M. Guichon de Grandpont entendait les témoins de cette triste affaire.
Le parquet repartit de Fréjus le soir, vers 22 heures.
M. Balp emporta huit bocaux où étaient déposés les viscères de la victime, ne pouvant immédiatement se prononcer s’il y avait crime ou non.
Le vendredi 17, à 7 heures du matin, eurent lieu les obsèques du malheureux Destelle qu’une foule nombreuse accompagnait jusqu’à sa dernière demeure.
  • Source : La République du Var, 18 mai 1895, p. 2.
  • État civil de la ville de Fréjus, Archives départementales du Var, 7 E 65_55, acte no 33.

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Le berger et le fuyard (Fréjus, 15 mai 1895) https://www.geneprovence.com/le-berger-et-le-fuyard-frejus-15-mai-1895/ https://www.geneprovence.com/le-berger-et-le-fuyard-frejus-15-mai-1895/#respond Wed, 18 Jun 2025 05:30:03 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=25657 Il faisait nuit ce 15 mai 1895 au vallon du Gargalon, situé tout au nord de la commune de Fréjus (Var). Le berger Blanchard dormait au pied d’un chêne-liège à…

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Il faisait nuit ce 15 mai 1895 au vallon du Gargalon, situé tout au nord de la commune de Fréjus (Var). Le berger Blanchard dormait au pied d’un chêne-liège à la campagne Ottou, à environ 4 kilomètres au nord de la ville. Son sommeil était profond quand, vers 2 heures et demie, il fut éveillé par les aboiements répétés de son chien.
Sortant de son sommeil, il aperçut dans le noir un individu à la mine suspecte qui cherchait à partir en courant de la maison d’habitation à proximité de laquelle il se trouvait.
Le berger s’approcha donc de lui et lui posa quelques questions pour s’informer de son identité. Mais l’homme lui répondit que cela ne le regardait pas. Blanchard voulut donc alors le conduire à la gendarmerie de Fréjus mais l’inconnu se mit à courir en s’écriant : « Personne ne m’arrêtera ! »
Exaspéré, le berger s’élança sur ses traces. Arrivé devant la campagne Savine, il y pénétra et se fit prêter un fusil car il avait remarqué que l’inconnu envoyait souvent la main à sa poche comme pour y prendre une arme.
Une véritable chasse à l’homme s’engagea et des paysans virent même y prêter main-forte.
À un moment donné, Blanchard somma l’individu de s’arrêter sans quoi il ferait feu. Mais l’autre sembla au contraire redoubler de vitesse en criant : « Personne ne me prendra. »
C’est alors que Blanchard mit son fusil en joue et fit feu. L’homme, qui n’était qu’à quelques mètres de lui, fut touché aux reins. La balle traversa le corps de part en part.
Aussitôt avertis, le juge de paix Sentar, son greffier Baudot et le commissaire de police Antoine Foata, en compagnie du garde-champêtre Jean Mestrallet, se rendirent immédiatement sur les lieux pour ouvrir une enquête.
L’inconnu était mort et Blanchard était convaincu d’avoir tué un malfaiteur. Pourtant il fut arrêté et conduit à la prison de Fréjus.
La victime ne portait aucun papier sur elle. Dans sa poche, on retrouva un revolver tout neuf chargé de cinq balles. Il avait en outre avec lui un tournevis, deux portemonnaies (dont l’un contenait quatre sous et deux cadenas avec deux clés) et il portait un gilet aux initiales de J. U. On voyait qu’il avait cherché à en enlever la marque, ce qui laissait supposer qu’il l’avait volé.
L’enquête révéla en fait que l’homme était d’origine corse. Il s’appelait André Césari, était marié à une nommée Lucie Castellani, était âgé de 38 ans, et était né à Asco. Bien que Corse, il vivait à Saint-Raphaël, à côté de Fréjus.
Le 18 mai, on apprit d’un certain Paul Maurin que, huit à dix jours plus tôt, Césari avait envoyé un mandat-poste à son beau-frère qui habiterait Calenzana, en Corse. Il disait habiter Toulon où il avait son domicile ordinaire. Monsieur Laurenzetti, de Saint-Raphaël, chez qui il avait loué une chambre garnie, prétendit que, du 6 au 10 avril, bien que Césari fût son locataire, le lit n’avait pas été défait. Il y aurait lieu de voir si cette période ne correspondait pas à divers exploits de malfaiteurs qui avaient eu lieu dans les parages.
  • Source : La République du Var, 16 mai 1895, p. 2.
  • État civil de la ville de Fréjus, Archives départementales du Var, 7 E 65_55, acte no 32.

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Louis et Honorade, une histoire d’amour contrariée (Fayence, 25 septembre 1684) https://www.geneprovence.com/louis-et-honorade-une-histoire-damour-contrariee-fayence-25-septembre-1684/ https://www.geneprovence.com/louis-et-honorade-une-histoire-damour-contrariee-fayence-25-septembre-1684/#respond Sat, 04 Jan 2025 05:30:11 +0000 https://www.geneprovence.com/?p=23964 Le 25 septembre 1684, Messire Ordan, le prêtre de Fayence, célèbre le mariage de deux jeunes du pays : Louis Gardet, de Fayence, et Honorade Rousse, de Rians, deux paroisses…

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Le 25 septembre 1684, Messire Ordan, le prêtre de Fayence, célèbre le mariage de deux jeunes du pays : Louis Gardet, de Fayence, et Honorade Rousse, de Rians, deux paroisses éloignées de l’autre.

« L’an 1684 et le 25 septembre, messire Jean Ordan, prêtre servant dans ma paroisse de Fayence, a fait le mariage entre Louis Gardet, fils de feu Jean et de feue Bernardine Ferrade, de ma paroisse, d’une part, et Honorade Rousse, fille de Jean [Roux] et de feue Honorade Gautiere, du lieu de Rians, diocèse d’Aix, d’autre, après avoir été publiée trois fois dans ma dite paroisse, ayant toujours fait répugnance de célébrer ledit mariage, attendu qu’il ne me conste pas de la publication des bans de la part de ladite Rousse, ni de la dispense de son Éminence d’Aix.
M. Porre, en qualité de grand-vicaire de Fréjus, m’a écrit la lettre jointe, par laquelle il me marque que Monseigneur de Fréjus trouve à propos que nous passions outre, nonobstant toutes ces difficultés, ce que Messire Ordan a fait pendant le saint sacrifice de la messe, en présence d’Honoré Tardieu, témoin appelé, et Antoine André, ci-soussignés avec nous. »
[Alongo, vicaire et prieur, André, Tardieu, Blanc, curé]

L’acte indique clairement qu’il existe un problème pour la célébration de ce mariage. Par chance, les lettres échangées pour la circonstance nous sont parvenues. Les voici :

*

« J’ai reçu votre lettre par laquelle vous me marquez du mariage de Honorade Rousse, à laquelle est arrivée une méchante affaire. Je vous dirais que c’est une mienne paroissienne, partie d’une bonne famille et honnêtes gens, à qui il n’y a rien à dire, mais la fréquentation qu’elle a eu avec ce jeune homme l’a jetée dans le malheur où elle se voit à présent et, par malheur, Jean Roux, son père, se trouve incommodé et détenu par des fièvres qui ne lui donnent aucun relâche, qui l’empêchent de se porter jusque chez vous pour terminer ce mariage. Néanmoins, il donne sn consentement, afin que vous puissiez passer outre à la consommation dudit mariage, comme je fais,
« Et suis, Monsieur, votre très humble et obéissant serviteur. »
[Bérard, vicaire]
Rians, ce 13 septembre 1684.

*

Reproduction d’une partie de la lettre à destination du prêtre Alongo. AD83.

« Monsieur,
« Louis Gardet, votre paroissien, m’a représenté que, s’étant engagé avec une fille de Rians, qu’il a amenée à Fayence avec une sienne sœur, de votre ordre pour mettre sa conscience en repos, il est allé audit Rians et vous a remis une attestation qui porte que cette fille n’est pas mariée et que le mariage entre elle et ledit Gardet a été publié une fois que le père de cette fille donne son consentement et qu’il ne resterait que la dispense de Monseigneur de Fréjus ou la publication des trois bans dans votre paroisse pour achever cette affaire et célébrer ce mariage.
« Si vous avez toutes ces pièces en main, ayez la bonté de les remettre à ce garçon afin que nous les voyions sans l’obliger de retourner à Aix, attendu sa pauvreté, car vous savez très bien que l’évêque du lieu où le mariage se contracte dispensant des bans, il n’est pas absolument nécessaire qu’un autre évêque dispense la partie qui est d’un autre diocèse et dans cette occasion, il faut agir favorablement et tirer les gens du péché.
« Puisque les choses sont faites, je vous prie de rendre charitablement service à ces misérables et de me conserver toujours véritablement,
« Monsieur,
« Votre très humble et affectionné service. »
Fréjus, 19 septembre 1684.
[Porre, prêtre]

*

« Monsieur,
« Je ne voudrais pour rien au monde blesser votre conscience, mais puisque Monsieur le vicaire de Rians donne son consentement […], le père sera bien aise que l’honneur de sa fille soit réparé. Monseigneur trouve à propos qu’après la troisième publication des bans et qu’ils demeurent séparés, vous les confessiez et leur imposiez une pénitence salutaire et passiez outre à la célébration dudit mariage. Nosseigneurs les prélats ont des raisons pour mettre leurs ouailles dans la voie du salut et les tirer du danger comme des véritables pasteurs.
« Voilà l’ordre de Monseigneur, avec la protestation de mes services, comme étant véritablement, Monsieur, votre très humble et obéissant serviteur. »
Fréjus, 21 septembre 1684.
[Porre, prêtre]

  • Registre paroissial de Fayence, Archives départementales du Var, 7 E 59/2.

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Couché sur le talus du chemin de fer (Fréjus, 13 avril 1895) https://www.geneprovence.com/couche-talus-chemin-de-fer-frejus-13-avril-1895/ https://www.geneprovence.com/couche-talus-chemin-de-fer-frejus-13-avril-1895/#respond Thu, 04 Apr 2024 10:06:03 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=20140 Louis Villanova était un pauvre journalier de 65 ans, né à Saint-Martin-Lantosque, l’ancien nom de Saint-Martin-Vésubie, dans les Alpes-Maritimes. Il y a quelques années déjà, il était venu dans le…

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Louis Villanova était un pauvre journalier de 65 ans, né à Saint-Martin-Lantosque, l’ancien nom de Saint-Martin-Vésubie, dans les Alpes-Maritimes. Il y a quelques années déjà, il était venu dans le Var vivre à Fréjus.
Le samedi 13 avril 1895, les personnes qui se dirigeaient vers Puget-sur-Argens en partant de Fréjus croisèrent un homme couché sur le talus du chemin de fer. C’était Louis Villanova.
À voir la façon dont il se tenait, d’aucuns pensèrent qu’il était ivre. Mais il n’en était rien.
Depuis quelques jours, l’homme souffrait d’une très forte fièvre et il n’avait rien mangé depuis des jours. Marchant vers Puget, la fièvre l’avait littéralement terrassé et obligé de rester dans la position où on l’avait trouvé.
On le transporta à l’hospice de Fréjus où il fut admis en urgence, mais malgré les soins qui lui furent administrés, il ne tarda pas à rendre son dernier soupir.
  • Source : La République du Var, 17 avril 1895, p. 4.
  • État civil de Fréjus, AD83, 7 E 65_55.

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L’accident de Baptistin Vallauris (Fréjus, 3 août 1897) https://www.geneprovence.com/laccident-de-baptistin-vallauris-frejus-3-aout-1897/ https://www.geneprovence.com/laccident-de-baptistin-vallauris-frejus-3-aout-1897/#respond Sat, 23 Nov 2019 14:47:13 +0000 http://www.geneprovence.com/?p=17350 Le mardi 3 août 1897, un terrible orage frappa le Var. Alors qu’il s’en retournait de la fête de Saint-Raphaël, Baptistin Vallauris fut à deux doigts de mourir. Il était…

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Le mardi 3 août 1897, un terrible orage frappa le Var.
Alors qu’il s’en retournait de la fête de Saint-Raphaël, Baptistin Vallauris fut à deux doigts de mourir. Il était 23h30. Arrivé au Pont-Reyran, sur la commune de Fréjus, la foudre frappa son cheval. Apeuré, celui-ci sauta soudain par-dessus le pont, se tuant net sur les rochers de la rivière.
Par chance, grâce au parapet, le char, dont les bras avaient cassé, ne fut pas précipité dans le gouffre et la vie de Baptistin Vallauris fut ainsi épargnée.

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Quelques secondes auparavant, le courrier de Saint-Raphaël, qui précédait Vallauris de dix mètres, ne put se porter à son secours, par l’intermédiaire de M. Tailland, son courageux cocher, car ses chevaux s’étaient emballés. Il parvint fort heureusement à maîtriser son équipage sans quoi on aurait pu déplorer des victimes, dans la mesure où la diligence comptait de nombreux voyageurs.

Au final, seul le cheval de Baptistin Vallauris perdit la vie dans cet accident.

  • Source : Le Petit Provençal, 5 août 1897.

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