La Provence, comme la plupart des régions françaises, possèdent ses propres croyances et superstitions. Aujourd’hui encore, on trouve dans les habitudes des Provençaux des gestes hérités d’une longue histoire.
Cela était d’autant plus vrai au XIXe siècle. Voici une collection, évidemment non exhaustive, de croyances répandues sous nos contrées à cette époque. N’hésitez pas à intervenir si d’autres croyances vous viennent à l’esprit.
Cela était d’autant plus vrai au XIXe siècle. Voici une collection, évidemment non exhaustive, de croyances répandues sous nos contrées à cette époque. N’hésitez pas à intervenir si d’autres croyances vous viennent à l’esprit.
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Quand, à la ferme, une poule imite le chant du coq, c’est que la fermière est plus maîtresse que le fermier.
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À un mariage religieux, le cierge du conjoint qui brûle le moins et reste le plus haut à la fin de la cérémonie indique celui qui survivra.
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Lorsqu’un cil tombe de votre paupière, recueillez-le avec soin et mettez-le dans votre bottine ; le lendemain, vous aurez une bonne nouvelle.
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Si vous passez le soir près d’un cimetière, portez du sel sur vous pour conjurer le maléfice des morts.
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Si vous avez un grand trajet à faire à pied, mettez sept feuilles de noix dans votre poche gauche et vous ne ressentirez aucune fatigue.
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Renverser du sel sur la table signifie ennui ; renverser du vin signifie proche réjouissance, à condition de tremper un doigt dans ce vin et de le porter à ses cheveux.
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