
La surface des fleuves et des rivières fut condensée, en sorte qu’on n’aurait su trouver alors des planches et des routes plus fermes et plus solides. Après la cessation du froid, il y eut, pendant plus de deux mois, quantité de maladies et beaucoup de mortalité de personnes. »
- Sources : L’enseignement en Provence avant la Révolution. Annales du Collège Royal Bourbon, Aix-en-Provence, 1890.
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