À la date du 15 juillet 1848, le journal marseillais L’Impartial du Midi, n° 3, rapporte l’anecdote suivante :
« On nous communique une lettre de Vidauban, annonçant un fait fort extraordinaire. Une jeune femme est accouchée d’un enfant ayant une seule tête, mais avec deux figures ; l’une avait deux yeux et l’autre un seul au milieu du front ; il avait de plus quatre oreilles, quatre bras et quatre jambes. Cet enfant n’a vécu que quelques minutes, mais il a été soigneusement conservé par M. Bernard, médecin, qui a l’intention de transmettre à l’Académie de médecine ce phénomène remarquable. »
Après examen des registres d’état-civil de Vidauban de l’année 1848, il apparaît que le bébé concerné était une fille, sortie du sein de Catherine Rato, épouse de Benoît Buscayo, cultivateur, le 21 juin 1848.
« On nous communique une lettre de Vidauban, annonçant un fait fort extraordinaire. Une jeune femme est accouchée d’un enfant ayant une seule tête, mais avec deux figures ; l’une avait deux yeux et l’autre un seul au milieu du front ; il avait de plus quatre oreilles, quatre bras et quatre jambes. Cet enfant n’a vécu que quelques minutes, mais il a été soigneusement conservé par M. Bernard, médecin, qui a l’intention de transmettre à l’Académie de médecine ce phénomène remarquable. »
Après examen des registres d’état-civil de Vidauban de l’année 1848, il apparaît que le bébé concerné était une fille, sortie du sein de Catherine Rato, épouse de Benoît Buscayo, cultivateur, le 21 juin 1848.