Du troisième septembre mil sept cent trente-huit, François Borel, fils à feu jacques, nous ayant requis son extrait baptistaire en présence de Louis Borel, son frère, d’Antoine Jaubert, natif de la paroisse des Orres et habitant de cette paroisse, son beau-frère, de François Rouzan et Marie Molin, ses parrain et marraine, de probe Pierre Jouvent, mari de la marraine, et de sieur Charles André Gay, notaire, avec nous soussignés, sauf Marie Molin qui a déclaré ne sçavoir :
Nous curé de Châteauroux avons ouvert et examiné les registres baptistaires de l’année mil sept cents seize et nous avons trouvé écrit que « Antoine Borel, fils de Jacques et de Marguerite Jean, de Châteauroux, légitimement mariés, a été baptisé par moy soussigné ce sixième janvier mil sept cents seize. Le parrain a été François Rouzan, la marraine Marie Molin. Le père n’a sçu signer. François Rouzan. C. Molin. vic. »
Sur quoi les susnommés et le requérant nous ont assuré que c’était par erreur qu’on avait écrit « Antoine » au lieu de « François » qui est le véritable nom imposé au requêtant dans son baptême et ils nous ont requis de certifier la vérité de leur dire pour servir au requérant à ce que de raison.
Ce que nous avons fait aux présences de Joseph Bérard feu Chaffrey et de Michel Raffin fils Jean-Baptiste, tous deux de cette paroisse, témoins requis et soussignés pour être lesdits susnommés gens de probité bien mémoratifs et dignes de foy et ont signés.
Nous curé de Châteauroux avons ouvert et examiné les registres baptistaires de l’année mil sept cents seize et nous avons trouvé écrit que « Antoine Borel, fils de Jacques et de Marguerite Jean, de Châteauroux, légitimement mariés, a été baptisé par moy soussigné ce sixième janvier mil sept cents seize. Le parrain a été François Rouzan, la marraine Marie Molin. Le père n’a sçu signer. François Rouzan. C. Molin. vic. »
Sur quoi les susnommés et le requérant nous ont assuré que c’était par erreur qu’on avait écrit « Antoine » au lieu de « François » qui est le véritable nom imposé au requêtant dans son baptême et ils nous ont requis de certifier la vérité de leur dire pour servir au requérant à ce que de raison.
Ce que nous avons fait aux présences de Joseph Bérard feu Chaffrey et de Michel Raffin fils Jean-Baptiste, tous deux de cette paroisse, témoins requis et soussignés pour être lesdits susnommés gens de probité bien mémoratifs et dignes de foy et ont signés.
- Registres paroissiaux de Châteauroux, année 1738
- Texte transmis par Marie-Thérèse Rostan