Il était 19 heures ce dimanche 7 avril 1895 quand éclata une dispute entre une femme et un soldat du quatrième de marine dans un débit de la rue Gavageau, à Toulon. Les camarades de ce dernier prirent fait et…
Catégorie : Emeute
À l’assaut du pont ! (Rognonas, 31 mai 1835)
Les fusillés de Simiane (Simiane-la-Rotonde, décembre 1851)
La Révolution de 1851 a été particulièrement intense dans le département des Basses-Alpes (ancien nom des Alpes-de-Haute-Provence). De nombreux rapports alarmants étaient régulièrement adressés aux autorités et parfois relayés dans une presse encore balbutiante. Ainsi, L’Écho des Bouches-du-Rhône rapportait en…
Émeutes à Fontvieille (Fontvieille, 18 et 21 juin 1876)
Terreur dans les rues du village (Châteaurenard, 13 novembre 1797)
« Il se forma, à quelque distance de la commune de Châteaurenard, un attroupement armé d’environ cinquante personnes qui s’étaient réunies de différents endroits et parmi lesquelles on remarqua Jacques Genevet, Mistral, Gontier dit lou Merlan, Pauleau dit lou Camaïgre, Louis Deleutre, Jacques Mascle dit lou Capelan, Borel et plusieurs autres non reconnus. Tous étaient armés de fusils et pistolets.
Le boucher déclenche une émeute (Aix-en-Provence, 18 septembre 1791)
Sur le rapport qui a été fait au corps municipal, procès verbal relatif à une saisie de viande de cochon frais, faite le 18 de ce mois sur la place de la Maison Commune, et aux faits qui ont accompagné et suivi cette saisie, ensemble de la déposition de divers témoins ouïs sommairement sur les faits qui ont suivi la
Relation des troubles arrivés à Aix les 12 et 14 décembre 1790 rédigés par la municipalité d’Aix le 17 mars 1791
Les événements survenus à Aix en décembre 1790 ont marqué la mémoire provençale de manière définitive. A l’issue de violentes émeutes ayant secoué la cité du roi René, le drame se termina par le lynchage et la pendaison sur le cours Mirabeau de trois hommes, dont on n’acceptait pas les idées anti-révolutionnaires.
Émeute de gens affamés (Arles, 2 janvier 1752)
Le 2 janvier 1752, sur les sept heures du soir, de bons habitants préviennent les consuls qui étaient réunis dans l’Hôtel de Ville que, dans le quartier, il était attroupé un certain nombre de gens du bas peuple, les uns avec des armes à feu, la plus grande partie avec des tridents, des haches et des faux, ayant fifres et