Catégorie : 04 – Digne-les-Bains

Les maires de Di­gne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence)

Joseph Reinach, maire de Digne de 1919 à 1921. Agence Meurisse. BnF.

XVIIIe siècle 1789-1790 : Jean-Baptiste François Ricavy 1790 : Joseph Faudon 1790 : Jean-Baptiste François Ricavy avril 1791-juillet 1792 : Joseph Paul Simon juillet 1792-mars 1793 : Melchior Dieudé avril 1794-décembre 1795 : François Colomb-Duvillard janvier 1796-octobre 1798 : Pierre Louis Francoul novembre 1798-février 1800 : Toussaint Itard avril 1800-septembre 1802 : Jean-Joseph Allibert XIXe siècle Lazare Marius Soustre, maire de Digne de 1881 à

Troubles aux bains (Digne-les-Bains, 23 juin 1337)

Les bains de Digne. DR.

La fréquentation des bains de la ville de Digne ne date pas de notre époque. D’aussi loin que remontent les archives communales, on trouve des allusions régulières à cet établissement dans lequel se pressaient de nombreux habitants dans le but d’apporter à leurs maux quelque soulagement ou tout du moins de jouir d’un moment de détente.

Obligation de l’épouser (Digne-les-Bains, 27 décembre 1716)

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Le vingt sept décembre Pierre Audric fils de Jacques et de Jeanne Davin, et Jeanne Renoux fille d’Antoine et de Catherine Hugues de cette ville ont reçu la bénédiction nuptiale de nous curé soussigné en face de la Ste Eglise en suite d’une exposition faite par ladite Jeanne Renoux contre ledit Pierre Audric et une poursuite en justice pour l’obliger

Une lettre familiale d’Aix à Digne (1840)

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Sources : Archives personnelles de l’auteur. Cette page présente une lettre écrite à Aix-en-Provence le 2 avril 1840, envoyée le 3 et reçue le 4 par sa destinataire, Mlle Louise PELLEGRIN, fille d’un inspecteur des contributions de Digne (Basses-Alpes). En voici le contenu sous sa forme intégrale. Contactez-nous si vous êtes lié à cette famille.

I. La ville comtale d’Aix-en-Provence

La place de l’Hôtel de Ville.
© Jean Marie Desbois, 2003

Page 1 / Page 2 / Page 3 / Page 4 / Page 5 L’Hôtel de Ville d’Aix fut construit de 1656 à 1668 sur les ruines d’un édifice municipal antérieur qui ne se remit jamais vraiment de son incendie par les troupes de Charles Quint en 1536 malgré sa restauration. Jusqu’en 1741, la façade principale du bâtiment donnait sur la rue Droite.