Le 10 mars 1838 se tenait aux Assises d’Aix un procès qui avait attiré du monde. Au premier rang se trouvait un nombre considérable de jeunes paysannes au regard à la fois étonné et curieux et aux joues fraîches et…
Catégorie : 13 – Rognes
Mort en se mangeant les mains (Rognes, 21 février 1637)
L’assassinat d’André Diouloufet (Rognes,
27 août 1800)
« aujourd’hui dix huit fructidor an huit de la République française une et indivisible, à huit heures avant midy par devant moi albert paul jaubert agent municipal de cette commune de Rognes, faisant les fonctions d’officier public pour recevoir les actes destinés à constater les naissances et les décès des citoyens sont comparus en la maison commune les citoyens alliberts assesseurs
À l’œuvre ! (l’après-tremblement de terre du 11 juin 1909)
L’association des Dames françaises – Croix-Rouge et le tremblement de terre de 1909
Mmes Bohn, Silbert, Mlle Blanchard, Mmes Apt, Bruschet et Mlle André préparant les pansements.(Cliché L. Meifren, Marseille. DR.) L’association des Dames françaises – Croix-Rouge était représentée sur les lieux du tremblement de terre du 11 juin 1909, dès le lendemain du drame par Mmes Bohn, Destouches, Silbert, Blanchard et M. le professeur Imbert, de Marseille.
Discours de Jean-Baptiste Guitton, adjoint à la mairie de Rognes (13 juin 1909)
« AU NOM DU Conseil municipal et de la population tout entière de Rognes, le cœur ému, j’adresse aux familles de nos concitoyens, victimes du malheur qui nous frappe tous, mes plus respectueuses condoléances ;
Les funérailles de Rognes
(13 juin 1909)
Rognes procéda à l’inhumation de ses quatorze victimes lors d’une cérémonies imposante. La tristesse accompagnait le village venus rendre un dernier hommage à ses enfants. Dans le cortège se trouvait une délégation du conseil municipal d’Aix, M. Guitton, adjoint au maire de Rognes, et Louis Alexis, conseiller général du canton de Lambesc.
Discours de Louis Alexis
(Rognes, 1909)
La nuit du 11 juin 1909 à Rognes
Par Marie Tay, témoin oculaire« Quand nous eûmes compris que notre maison ne s’écroulait pas sur nous, nous sortîmes en toute hâte, poursuivis par le bruit sinistre des derniers murs qui s’effondraient. Nous courions vers la campagne, loin du village qui, comme un immense château de cartes, s’affaissait graduellement.