
Le 17 janvier 1885, la femme du docteur Gustave Tournatoire qui exerçait à Pertuis, petite ville du département de Vaucluse, devint subitement folle. Elle s’était couchée de bonne heure, pensant apaiser les lourdeurs de tête et les maux de cœur…
En 1861, un journaliste relate pour Le Mémorial d’Aix un horrible fait divers survenu à Pertuis (Vaucluse) : « Léonard Claude Alphonse, né à Saint-Saturnin-lès-Avignon, le 2 juillet 1830, était marié en secondes noces, depuis environ un an, avec la veuve Tamayon Marguerite Véronique, âgée de trente-deux ans.
La lettre qui suit a été écrite le 4 octobre 1819 à Forcalquier par Eugène Cornarel, à destination de sa mère, Mme Cornarel, née Roquesante. Le contexte laisse globalement deviner la situation d’un jeune homme en pension dans un collège religieux, semble-t-il, et passionné d’aviculture. Il écrit à sa mère pour lui demander de lui envoyer des oiseaux.
Monsieur le trésorier de la viguerie de cette ville d’Aix, Boniface Alpheran, paye des deniers de vostre recepte à Michel Nicolas, ménagié du lieu de Cabrières-d’Aigues, la somme de huit livres, pour avoir tué un gros loup au terroir de Pertuis, ainsi qu’il nous a apparu par la certifficat des consuls du lieu, ainsi que la viguerie est en coustume
Sources : Le Mémorial d’Aix. 30 mars 1862 On nous écrit de Pertuis, à la date du 26. Léonard, condamné à mort, par la Cour d’Assises de Carpentras pour avoir assassiné sa femme et ses deux enfants et les avoir brûlés en mettant le feu à l’habitation où il avait commis cette épouvantable boucherie, a subi sa peine aujourd’hui.